Cette déclaration intervient dans le cadre de la présentation du chef de la diplomatie lors de la discussion du budget sectoriel du ministère devant la commission des affaires étrangères, de la défense nationale, affaires islamiques et Marocains résidant à l'étranger, à la chambre des Représentants.
Nasser Bourita a déclaré que trois autres pays ont exprimé leur intention d'ouvrir des consulats dans les régions du sud , à savoir le Tchad, la Somalie et le Guatemala, rappelant ainsi que plusieurs pays ont retiré leur reconnaissance « formelle » de l'entité fictive en 2022, à savoir 84 % des États membres de l'ONU ne reconnaissent pas la république autoproclamée et « fictive ».
Le chef de la diplomatie a indiqué ainsi que les pays reconnaissant l’entité fictive, ne représente qu’une minorité au niveau international, y compris ceux qui ont hérité ces prises de positions, parfois dogmatiques et idéologiques.
Le ministre a ajouté, par ailleurs, que le Sahara marocain est la référence par laquelle et à travers laquelle le Maroc distingue les positions ambiguës des positions claires et le moyen de mesurer la profondeur et la sincérité de ces amitiés, mais c’est aussi le facteur décisif dans la valorisation et le développement des partenariats.
Dans le même sillage, Nasser Bourita, a souligné que le Roi Mohammed VI a établi, lors du discours royal du 20 août , une approche bien définie dans la gestion des différents enjeux de la politique étrangère du Royaume, autour de la question du Sahara marocain, notant qu’il s’agit d’une approche pragmatique et réaliste , qui va loin de la logique et des récits de la guerre froide.
Nasser Bourita a déclaré que trois autres pays ont exprimé leur intention d'ouvrir des consulats dans les régions du sud , à savoir le Tchad, la Somalie et le Guatemala, rappelant ainsi que plusieurs pays ont retiré leur reconnaissance « formelle » de l'entité fictive en 2022, à savoir 84 % des États membres de l'ONU ne reconnaissent pas la république autoproclamée et « fictive ».
Le chef de la diplomatie a indiqué ainsi que les pays reconnaissant l’entité fictive, ne représente qu’une minorité au niveau international, y compris ceux qui ont hérité ces prises de positions, parfois dogmatiques et idéologiques.
Le ministre a ajouté, par ailleurs, que le Sahara marocain est la référence par laquelle et à travers laquelle le Maroc distingue les positions ambiguës des positions claires et le moyen de mesurer la profondeur et la sincérité de ces amitiés, mais c’est aussi le facteur décisif dans la valorisation et le développement des partenariats.
Dans le même sillage, Nasser Bourita, a souligné que le Roi Mohammed VI a établi, lors du discours royal du 20 août , une approche bien définie dans la gestion des différents enjeux de la politique étrangère du Royaume, autour de la question du Sahara marocain, notant qu’il s’agit d’une approche pragmatique et réaliste , qui va loin de la logique et des récits de la guerre froide.